jeudi 1 février 2007

Comment ça se passe ici ?


Voici Michael, le québécois rencontré ce weekend au Cap Skirring, avec Les français Célone et Olivier, Annie et mon chum, les deux sragiaires. Tous!
Nous trois en arrière dans le 7 places, le wagon-station africain. C'est les deux stagiaires, Marie-Hélène et Edith. On est pogné, mais on est ben. Voici la poubelle de voîture de l'extérieur. Pare-brise doublement fracassé, tolle cabossée de partout, mais ça roule des kilomètres tout les jours. On fait deux heurs dans ça, avec de la poussières en masse qui rentre à l'intérieur. On se mouche et c'est noir dans le kleenex. Quand nous avons arrêté sur la route, parce qu'il y avait des travaux routiers, pour repartire, les gars dans la voîture on dû sortir et pousser pour partire le moteur sur la compression. C'est ça l'Afrique.
Voici notre moyen de transport de retour, le car, celui que vous nous avez vu toute la gang un peu plus haut. Nous avons fait dix milles arrêts, et pour finir à 15 min de Ziguinchor avec une panne d'essence. Deux heures avant de pouvoir repartir, le temps que l'essence arrive avec un autre car qui passait par là. Mon chum et un français qui était avec nous dans le car, on a sortie la guitare, chanter et j'ai fait les bolas pour divertir les dizaine d'enfants qui me regardaient comme une bête de cirque. Mais elle est blanche !


Cette fille s'appel Fatou Bintou, elle fait le lavage et la cuisine à l'Auberge de la paix, l'endroit où mon ami Djibi travail à Cap Skirring. Elle n'a pas besoin de laveuse, tout est fait à la main. Elles ont une technique pour frotter qui fait un bruit particulier, que jusqu'à maintenant, je n'ai pu imiter. Elle repasse tout le linge, le plie et le met sur sa tête, dans une main et dans l'autre. Elles ont vraiment de l'équilibre, moi j'aurais tout fait tomber par terre. Voilà la différence entre nous. Le cellulaire autour du coup, c'est fréquent ici. Vous savez, presque tout le monde a des cells, mais ils n'ont jamais de crédit pour téléphoner. Alors ils te disent, appelle-moi, ok !




















Je passe le balai avec des tiges de cocotiers ou de palmiers.
Elles sont séchées puis reliées avec un bout de tissus, on se penche et on fait l'entrée, la cours arrière, la chambre... Tout !


pour former un balai pas de manche. Les femmes peuvent travailler penché, pour faire les tâches ménagères comme la vaisselle, le lavage à la main, la jardinage et le balayage.




Ici, je me promène en vélo, mais pas n'importe lequel, avec un panier orange. Je pars pour le boulot, 1 min et je suis arrivé à l'hôpital. Ensuite, je peux sois aller faire les course au marché.








" QUAND JE VAIS AU MARCHÉ' JE METS DANS MON PETIT PANIER: de la salade, des tomates, des oranges, pamplemousses, mandarines ou clémentines. Des peannuts ! ici , on dit cacahuètes, des noix de coco et des papayes. Bientôt, ce sera le temps des mangues, mais je crois qu'il va pleuvoir des mangues... Y a des manguiers sur chaque terrains, partouts y a des manguiers, je crois que je vais même être écoeurée d'en manger.

3 commentaires:

mat a dit…

Élo,
c vraiment trop fiable ton blogue! Autant en images qu'en texte, j'ai toujours du fun à te lire.

Je constate que t vraiment rendu une Africaine dans l'âme. Good, ça te va bien :)

Continue ton beau voyage

Mat xxx

Jeremy a dit…

Salut Elo, c'est malade ton aventure.... Tu es vraiment dans ton élément!! On n'est loin du carnaval...
Je t'adore té vraiment hot!

Jeremy xx

Unknown a dit…

je suis vrament content que sengal vous plaise et j'aimerai vous connaitre